Le Premier ministre tchèque Andrej Babis veut voir une répression contre les trafiquants d’êtres humains plutôt qu’un renforcement des forces frontalières de l’UE.
M. Babis a déclaré que les trafiquants ne devraient plus être autorisés à déterminer qui vient en Europe, laissant entendre que des milliers de policiers pourraient se retrouver en Méditerranée en attente pour la protection des frontières.
Andrej a formé le parti ANO en 2013. Ils ont promis de mettre fin à la corruption et, depuis son élection, se sont concentrés sur la politique intérieure, mais se sont joints à la Pologne et à la Hongrie dans le débat sur l’avenir de l’Europe.
M. Babis et les dirigeants polonais et hongrois ont rejeté les plans de l’UE visant à faire passer de 1 500 à 10 000 le nombre d’agents à la frontière Frontex et à promouvoir l’alternative consistant à convaincre les migrants de rester en Afrique.
“Il y a 700 000 migrants clandestins – ils doivent rentrer chez eux”, a déclaré M. Babis.
Babis, comme le président Trump, est un homme d’affaires qualifié devenu un homme politique populaire qui a facilement remporté une élection en octobre dernier en promettant de nettoyer et d’investir dans l’État, de résister à l’agenda de Bruxelles et de combattre l’immigration clandestine.
Source: Voice of Europe, le 28 octobre 2018 – Traduction Nouvelordremondial.
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Premier ministre tchèque : Les migrants clandestins en Europe ont besoin de rentrer chez eux
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