11 avril 2017
2
11
/04
/avril
/2017
01:07
Le 27 février, le bureau de la liaison du Pentagone avec la Coalition RSII (centre de coordination entre la Russie, l'Iran, l'Irak et la Syrie, située dans la zone verte de Bagdad, en Irak) a remis au commandant des Forces aérospatiales de la Fédération un document de renseignement américain précisant que la CIA avait organisé une réunion secrète de tous leurs principaux commandants du Front Al-Nosra Front, qui devait se tenir le lendemain (28 février) près du village de
Rasm al-Eis (28 kilomètres au sud-ouest d'Alep). Dans les 26 heures suivant la réception de ces informations, un chasseur unique Su-24 a pu cibler et tuer, avec une bombe guidée
KAB-500, au moins
67 de ces terroristes islamistes, dont 19 de leurs principaux commandants sur le terrain.
 |
Pour en savoir plus, Cliquez ICI. |
Ce qui est remarquable, c’est que non seulement le président Trump a ordonné que les propres terroristes islamistes de la CIA en Syrie soient détruits par les forces aériennes russes, mais qu’il a lancé aussi l'armée américaine contre les forces Al-Qaïda financées par la CIA au Yémen, ce que l’ex président Obama n'a jamais permis d’attaquer, et encore moins, de détruire.
Mais, à la différence du président Nixon qui a été renvoyé du pouvoir par ces forces «d'Etat profond», le président Trump a déjà vaincu, lors de son incroyable ascension : les médias de «fausses nouvelles» américains, le Parti républicain, Le Parti démocrate, le régime Obama, le régime Clinton et le régime Bush. Il a ainsi prouvé, à ceux qui veulent l’éliminer, qu’il a plus d’un tour dans son sac, que c’est un dur à cuire, et non pas le falot qu’ils s’imaginaient.
Il a des burnes en acier trumpé. [1] L'ancien président Obama a rassemblé autour de lui, à Washington DC, un «gouvernement d'ombre» dans son enceinte, appelée « la Maison Noire », située à quelques pâtés de maisons de la «Maison Blanche» du Président Trump, La «maison noire» est «le centre névralgique pour le plan d'Obama-Clinton pour la destruction de Trump», et dans laquelle, l'ancienne aide d'Obama, Valerie Jarrett, vient d'emménager, ainsi que son ancien procureur général Eric Holder. Ce qui fait peur au binôme Obama/Clinton, c’est que le procureur général de Trump, Jeff Sessions, est en train d’accélérer l'installation d'un grand jury pour enquêter sur un vaste blanchiment de capitaux à l'échelle internationale mis en place en 2011, lorsque Obama et Clinton ont mis en place un accord de libre-échange avec le Panama, ce qui a pour conséquence de faire exploser le transfert de fonds illégaux dans le monde entier.
Hannibal GENSERIC
Published by Lazare