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9 novembre 2018 5 09 /11 /novembre /2018 10:29

La preuve d’une civilisation antédiluvienne en Méditerranée pourrait symboliser une grande percée biblique et prouver que l’histoire de l’Arche de Noé est vraie.

La “Preuve d’une civilisation antédiluvienne” évoque l’Arche de Noé

L’arche de Noé est décrite dans le livre de la Genèse de l’Ancien Testament qui est un récit clé du christianisme et du judaïsme.

Selon les saintes écritures, Dieu a provoqué un déluge pour débarrasser la Terre de l’humanité en “voyant combien la méchanceté de la race humaine était devenue grande sur la Terre”.

Mais il permit à Noé et à sa famille de vivre et de construire une arche pour contenir deux paires de chaque animal.

Et aujourd’hui, les preuves d’une “civilisation antédiluvienne” qui tendrait à prouver l’exactitude de la Genèse se sont révélées évidentes.

L’île Ruad, en Méditerranée, est la seule île habitée de Syrie.

Autrefois, elle était protégée de tous côtés par de grands blocs mégalithiques, que l’on croyait traditionnellement être l’œuvre de l’architecture romaine.

Mais dans de nouvelles séquences, publiées sur la chaîne Youtube Mystery History, le narrateur interroge des récits savants et affirme que les structures sont beaucoup plus anciennes.

Il suggère même que la société qui se cachait derrière des murs aurait pu être perdue à jamais après un événement historique, comme une inondation.

“L’état du mur de Ruad, ainsi que la nature inexplicable de sa construction, est notamment révélatrice de la perte de connaissances, mais échappe par la suite aux explications actuelles”, dit-il.

“Comment ces structures ont-elles été construites est un mystère, mais si elles ont été complétées par nos propres ancêtres plus modernes, pourquoi ce savoir est-il perdu pour les éons ?”

“Pourquoi ces ancêtres n’ont-ils pas continué leurs prouesses de l’ingénierie moderne ?”

“C’est une histoire que certains trouvent très difficile à croire.”

Les images ont fait sensation en ligne avec près de 100 000 vues en un peu plus d’un mois.

Et la suggestion que les murs sont l’œuvre d’une “civilisation antédiluvienne” a suscité un débat sur la question de savoir si les ruines de Ruad prouvent l’histoire de l’Arche de Noé.

“Construit à l’époque des géants, avant Noé”, commentait un spectateur.

Un internaute a commenté : “Les Fils de Dieu, les Géants, ont construit ces bâtiments avant le déluge de Noé.”

Beaucoup de gens ont déjà essayé de prouver l’histoire de Noé et du déluge.

Et ce n’est pas la première fois que des découvertes religieuses font les manchettes récemment.

On a trouvé des preuves de la ville du roi David qui se trouvait “exactement là où la Bible disait qu’elle était” le mois dernier.

Alors qu’un pasteur prédisait l’apocalypse et “la date du retour de Jésus.

Source: Daily Star, le 9 octobre 2018Traduction Nouvelordremondial.cc

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20 octobre 2018 6 20 /10 /octobre /2018 11:45
La Cité de David a réellement existé selon des scientifiques

Une nouvelle preuve a été découverte démontrant que la cité du Roi David a bel et bien existé et qu’elle se trouvait à l’endroit exact où la Bible l’indique.

L’ancien royaume aurait été découvert plus tôt cette année par des chercheurs stupéfaits en Israël. Avraham Faust et Dr Yair Sapir ont fouillé une grande maison à Tel ‘Eton dans les contreforts de Judée. C’est à cet endroit qu’ils ont trouvé des preuves de l’existence du roi David et du roi Salomon.

À l’époque, les historiens ont déclaré que la découverte avait clairement fait « partie des événements de la Bible attribués au Royaume de David ».

La ville est mentionnée dans la Bible comme l’une des cinq qui ont combattu les Israélites avant d’être conquis.

Et il existe un bon nombre d’autres preuves.

Une inscription, découverte sur le site archéologique de Tel Dan, nous présente une écriture gravée sur une pierre datant du IXème siècle avant JC. Elle constituerait la preuve la plus tangible que le roi David ait véritablement vécue.

La roche n’a été découverte qu’en 1993 lors d’une fouille d’un site à Tel Dan, en Israël, par le Dr Avraham Biran.

Le texte est écrit dans la langue araméenne, celle que parlait Jésus-Christ, et célèbre la victoire au combat d’un roi araméen.

L’écriture sur la dalle fait spécifiquement référence à la « Maison de David » et a été décrite comme la plus importante découverte biblique jamais réalisée.

En plus de cette preuve qui nous prouve l’existence de la ville du Roi David et de son emplacement exact, il y a de plus en plus de preuves qui démontrent que les événements détaillés dans la Bible se sont réellement produits.

L’archéologue Dr Faust avait déclaré : « Nous n’avons bien sûr trouvé aucun artefact portant la mention ‘roi David’ ou ‘roi Salomon’, mais nous avons découvert des signes de transformation sociale dans la région, qui correspondent à un changement de culture cananéenne en culture judaïque. »

« Depuis que nous avons cru que le Royaume de David commençait à se répandre dans cette région, il est clair que ce bâtiment faisait partie des événements de la Bible attribués au Royaume de David. »

Source: Daily Star, le 30 septembre 2018Traduction Activité Paranormale

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18 septembre 2018 2 18 /09 /septembre /2018 17:26
Un DEUXIÈME sphinx de l’époque de l’Egypte antique a été découvert, après que des ouvriers ont accidentellement exhumé l’artefact renommé lors de travaux.
Découverte du Deuxième SPHINX Egyptien sur le plateau de Gizeh lors de travaux

Les ingénieurs se sont arrêtés après avoir trouvé une grande statue, qu’ils ont décrite comme ayant un “corps de lion et une tête humaine”.

Ils se sont vite rendu compte qu’ils avaient récupéré le deuxième sphinx d’Egypte, dont l’origine remonte à 2500 avant J.-C. sous le règne du Pharaon Khéphren en Egypte.

Mohamed Abel Aziz, directeur général des Antiquités, a déclaré que la structure n’a pas encore été extraite du sol et qu’elle reste enfouie dans le sol jusqu’à ce qu’on puisse l’excaver correctement.

Les membres du public peuvent maintenant visiter le site où le sphinx a été trouvé, a déclaré le ministre des Antiquités Khaled al-Anani.

Le Grand Sphinx de Gizeh en Egypte est le plus grand et le plus célèbre sphinx du monde, et est situé sur le plateau de Gizeh, sur la rive ouest du Nil en Egypte.

Il a été sculpté dans de la roche du plateau de Gizeh, faite de calcaire, et on dit qu’il s’agit de l’une des plus grandes statues monolithiques du monde.

Les anciens Egyptiens considéraient le sphinx comme un symbole de la royauté, et les pharaons faisaient graver leur tête dans la roche qui est ensuite déposée sur leurs tombes.

Ils officialisaient leurs relations avec Sekhmet, la divinité solaire, que l’on croyait être une lionne.

“Ils ont peur que s’ils trouvent des choses là-dessous, nous devrons jeter tous les livres d’histoire par la fenêtre.”

“Ils ont commencé à enquêter, mais ils se sont arrêtés. Ils devaient savoir qu’il y avait des trucs là-bas, mais ils étaient inquiets.”

“Une fois qu’il sera prouvé que toute leur histoire est fausse, tous les livres qu’ils ont écrits seront jetés à la poubelle. S’ils ont trouvé des choses, ils n’oseront pas les montrer”

“Il y a des entrées, il y a des photos qui le montrent. Il y a ce trou vers le haut du Sphinx, au niveau de sa tête. ”

“Pourquoi devrait-il être là ? On descend d’environ 2 à 3 mètres, puis on s’enfonce dans des passages.”

“Ils n’ont jamais pris de caméras là-bas – ou bien ils l’ont fait et ils ne veulent pas nous le montrer.”

Source: Express.co.uk, le 8 août 2018Traduction Nouvelordremondial.cc

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26 mars 2018 1 26 /03 /mars /2018 10:23
L’ÉNERGIE ANTIQUE

par Xavier Séguin

Technologie antique

 

L’existence de piles et de lampes électriques est attestée depuis la plus haute antiquité. Par la suite, le secret de l’électricité s’est perdu… jusqu’à ce qu’on la redécouvre récemment.

En Asie, en Afrique, en Europe ou en Amérique, l’antique histoire de l’électricité est contée par des textes, mais aussi par des objets, des statues, des fresques, des sculptures ou des bas-reliefs avec un luxe de détails qui pourrait en faire une véritable encyclopédie de l’électro-magnétisme. A quelques nuances près…

La pile de Bagdad

 

 

Pour ceux qui douteraient encore du lointain passé de la fée électricité, la pile ou batterie de Bagdad apporte une preuve digne de Saint Thomas : elle est censée avoir environ 2000 ans. La jarre a été découverte à Khujut Rabu aux portes de Bagdad. La jarre en argile possède un bouchon isolant en asphalte percé d’une tige de fer entourée d’un cylindre de cuivre. Remplie de vinaigre – ou de toute autre solution électrolytique – la jarre produit environ 1,1 volt. Les anciens savaient produire l’électricité à l’aide de piles, et plus encore. Ils avaient également maîtrisé une source d’électricité que nous nous obstinons à négliger, pour une raison sordide. Une affaire de gros sous, comme d’hab. Incroyable mais vrai : les anciens utilisaient l’électricité atmosphérique, ou géo-énergie, qui a toujours été gratuite. Elle existe partout, il suffit d’une antenne pour la capter, mais elle ne marque pas au compteur EDF. Au siècle de l’argent roi, l’énergie gratuite n’a pas d’intérêt. Faut-il en conclure que les “dieux d’avant” se foutaient du pognon ? Quoi qu’il en soit, ils connaissaient très bien la foudre : «Le temple de Salomon et la bibliothèque d’Alexandrie possédaient des paratonnerres (source).

C’est vrai, et la Maison du Ciel que Gilgamesh construisit à Uruk en possédait aussi.

Capteurs de foudre

 

S’agissait-il de paratonnerres ou de capteurs de foudre ? Jadis, on piégeait la foudre pour en extraire le précieux Vril. Les pyramides du Mexique ont à leur base une couche de mica pour éviter que cette précieuse énergie soit remise à la terre.

Aujourd’hui, nous piégeons l’énergie Vril dans nos paratonnerres, mais nous nous empressons de la remettre à la terre malgré nos besoins énergétiques. Et il n’y a pas que le Vril fulgural qu’on néglige.

«Très curieusement, l’énergie électrique qui se construit sur toutes les surfaces métalliques et paratonnerres de la planète, nous la jetons dans les mises à la terre, où elle se dissipe aussitôt.» (source)

Pendant qu’on nous revend à prix d’or l’électricité d’un giga-barrage ou d’une centrale nucléaire, graves nuisances environnementales. Est-ce un complot ?

Fantôme dans la machine

 

Y a-t-il un fantôme dans la machine, ou un diable aux commandes ? Cette hypothèse n’est pas nécessaire. L’appât du gain suffit.

«Plus curieusement encore, les codes électriques d’une bonne partie des pays industrialisés interdisent l’utilisation ou la commercialisation d’un équipement qui utiliserait une telle source d ‘énergie atmosphérique.» (source).

Quand c’est gratuit, c’est illégal. Chacals. Si jamais vous pensez qu’on nous prend pour des cons, vous avez raison. Au-delà de la sordide question d’argent, il y a là un gaspillage qui n’est pas seulement quantitatif, mais qualitatif. L’énergie Vril est beaucoup plus que de l’électricité. La physique quantique nous enseigne que dans chaque transmission d’énergie, il y a transmission d’information. L’énergie Vril apportait aux anciens les connaissances de l’esprit de la Terre (électricité atmosphérique) et de l’esprit de la Lumière (électricité fulgurale éclatée en boules de foudre). Quelle information peuvent bien véhiculer nos lignes à très hautes tension, mortifères, désastreuses pour l’environnement et le psychisme humain ?

Un générateur Tesla

 

Feuilletant un livre d’art sur l’Égypte ancienne, un particulier bricoleur est tombé sur plusieurs images qui ont suscité son intérêt. Il a tout de suite identifié un générateur électrique, comme il en démonté et réparé des dizaines dans sa vie. Aussitôt il décidé de fabriquer l’engin qui fonctionne selon les expériences d’un certain… Nikola Tesla !!! Ce génial inventeur avait des théories sur l’électricité atmosphérique qui font penser, vraiment, aux conceptions des dieux d’avant sur le vril et son usage. En tout cas, ce générateur électrique fonctionne, c’est une preuve supplémentaire de l’électricité antique.

On peut se demander si le chandelier à sept branches –sacré pour les Juifs– ne serait pas une copie de cet antique générateur ? Beaucoup d’objets technologiques antiques ont ainsi été pris pour des symboles religieux, dès que leur véritable usage fut oublié. Les rabbins ont jalousement conservé la forme, comme Platon avec sa caverne. Mais le fond a disparu.

Les pyramides électriques

 

Garzia nous parle avec passion d’une Égypte antique qui possédait une grande expertise en électricité atmosphérique. La captation et l’utilisation de cette énergie étaient, tout comme aujourd’hui, sous la responsabilité d’un ingénieur électricien. Selon Garzia, à cette lointaine époque, les charges d’électricité entourant la terre étaient beaucoup plus élevées qu’elles ne le sont aujourd’hui. La pyramide était alors coiffée du fameux pyramidion en alliage polymétallique, maintenant disparu.

Le pyramidion, paratonnerre antique, servait à capter les éclairs pour les éclater en boules de foudre, moins dangereuses. La foudre en boule est la forme la plus pure d’énergie vril. Mais il y en a d’autres : l’énergie atmosphérique, qui s’accumule dans toutes les surfaces métalliques, la géo-énergie ou énergie subtile, produite par la rotation terrestre. Le pyramidion était un supraconducteur en orichalque, qui est un alliage oublié or-argent-cuivre-radium. Il attirait la foudre et l’électricité atmosphérique.

L’électricité suivait les plaques d’or qui revêtaient la pyramide, puis les tiges métalliques par les fameux “conduits d’aération jusqu’à la chambre du roi. Ces conduits sont une énigme : malgré leur nom, ils n’ont jamais servi à aérer la chambre du roi. Ils n’ont pas servi non plus à observer telle ou telle étoile, n’en déplaise à Robert Bauval. D’ailleurs l’utilisation de conduits de pierre pour observer une étoile semble d’un intérêt douteux, surtout quand on possède des téléscopes. Aussi la majorité des égyptologues s’en tient à l’hypothèse de conduits d’aération, faute de mieux.

Upuaut, l’ouvreur de voie

 

Il y a quelques années, un petit robot surnommé Upuauta été chargé d’explorer l’un de ces fameux conduits. Dans l’Égypte antique, le dieu Upuaut était l’ouvreur de voie. Un nom tout indiqué ! A mi-pente, le petit robot a buté sur une porte de pierre -ce qui ruine l’hypothèse de Bauval. Cette pseudo-porte comportait deux tiges métalliques où les scientifiques responsables du programme Upuaut ont cru identifier d’antiques poignées.

Selon moi, ce ne sont pas des poignées mais les restes des barres de métal qui reliaient le pyramidion aux installations électro-psychiques de la chambre du roi. Comme je l’ai dit, la Grande pyramide, recouverte d’or, était couronnée d’un pyramidion d’or aussi, qui captait les éclairs. L’or est un excellent conducteur. Les “conduits d’aération” étaient en réalité des gaines destinées à recevoir deux tiges métalliques chargées de courant positif et négatif, la “porte” ne servant qu’à en maintenir l’écartement pour éviter un court-circuit. Sur la photo, on notera que les tiges de métal ont fondu, sans doute à la suite d’une surcharge électrique.

La connaissance et la maîtrise de l’électricité atmosphérique ou vril sont pour moi choses établies. Son utilisation semble encore banale aux premiers temps de l’Égypte antique, tout comme les engins volants. Puis les lampes, les arcs électriques et les dispositifs divers utilisant le vril sont tombés en panne, nul ne savait plus les remettre en marche, et il a fallu attendre l’époque moderne pour qu’on invente l’électricité. Non, oh que non, nous ne sommes pas les premiers. Et sur tous les plans, sans exception, les Anciens ont fait mieux que nous. Avant d’être souillé par ces connards de nazis, le vril fut longtemps un instrument d’éveil.

Par Xavier Séguin, publié le 21 février 2012 sur Eden Saga :

http://eden-saga.com/electricite-pyramidion-upuaut-kheops-conduits-aeration-irian-jaya-booya-vril-antique.html

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10 mars 2018 6 10 /03 /mars /2018 12:24
Le sceau a été retrouvé dans un bâtiment sur l’esplanade du mur des Lamentations à Jérusalem (illustration). — MENAHEM KAHANA / AFP

Le sceau a été retrouvé dans un bâtiment sur l’esplanade du mur des Lamentations à Jérusalem (illustration). — MENAHEM KAHANA / AFP

Comme par hasard !! Au moment où Jérusalem est sujet à polémique, reconnue comme capitale par les US qui y ont déplacé leur ambassade (ainsi que d’autres pays) , on trouve des preuves en hébreux (prés du mur des lamentations qui plus est) qui prouverait que la ville a été gouvernée par les israélites il y a 2700 ans, confirmant la thèse de  » l’Israël Biblique », avec comme capitale Jérusalem .  Pensez vous vraiment que tout ceci est un hasard ??? Ou serait ce de la propagande pro Israélienne ?? (la « découverte » est d’ailleurs faite et diffusée par les archéologues Israéliens eux mêmes)  En tous cas la news est relayée en cœur par tous les médias alignés qui parlent de « confirmer les dires de la Bible » . C’est pratique non ?? Z 

Un sceau en argile datant de 2700 ans et découvert à Jérusalem a été présenté lundi comme une première preuve matérielle de l’existence d’un gouverneur dans cette ville, selon l’autorité israélienne des Antiquités.

Cet artefact rond de la taille d’un bouton a été trouvé dans un bâtiment sur l’esplanade du mur des Lamentations, dans la Vieille ville. Il date du VIe ou VIIe siècle avant notre ère, une période qui correspond à celle du premier temple juif.

« Au gouverneur de la ville »

Sur la pièce figurent deux hommes vêtus de robes se faisant face et se tendant la main, avec ce qui semble être une lune entre les deux mains tendues. En dessous de cette représentation, une inscription en ancien hébreu indique : « Au gouverneur de la ville », ce qui correspond aux fonctions de maire.

Le sceau servait « de logo ou d’un petit souvenir, envoyé au nom du gouverneur de la ville », a affirmé Shlomit Weksler-Bdolah, qui participe aux fouilles de l’autorité des Antiquités.

Première mention dans un contexte archéologique

« L’importance de cette découverte réside dans le fait que jusqu’à présent, nous ne connaissions l’expression de gouverneur de la ville que par la Bible, a-t-elle souligné. C’est la première fois que nous trouvons cette mention dans un contexte archéologique. »

Le sceau ne mentionne pas le nom du dirigeant de Jérusalem mais Shlomit Weksler-Bdolah pense qu’il se réfère à la Vieille ville car il a été retrouvé dans le même bâtiment où d’autres artefacts avaient été mis au jour. Les examens scientifiques qui seront pratiqués prochainement devraient confirmer le lien avec Jérusalem, estime la scientifique. (source)

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24 janvier 2018 3 24 /01 /janvier /2018 11:14

Le Temple de Coricancha (en Quechua: Quri Kancha, ‘temple doré’) est un temple Inca politique et religieux du centre géographique de la ville de Cuzco, au Pérou.

Le mot Coricancha (aussi écrit Qorikancha) est formé par l’union de deux mots quechua: »Kori / Cori » qui signifie or et kancha / cour, temple ou enceinte.

Selon les chercheurs, le nom d’origine était « Intikancha », et est lié au Dieu Inti et la couleur dorée à l’intérieur de lui, se référant au soleil.

Il n’est pas clair en quelle année exactement la construction du temple a commencé, mais on suppose qu’il date de la période des Ayamarcas.

En 1438, en prenant le pouvoir, le neuvième Inca, Pachacuteq, remodèle toute la ville et rebaptise plus tard le temple pour qu’il porte le nom actuel de ‘Qorikancha’.

L’incroyable similitude entre le Temple du Soleil Coricancha au Pérou et le Temple de la Vallée des Rois en Egypte

Selon la conception inca, Qorikancha était le centre religieux, géographique et politique de Cusco, et était si important que Garcilaso de la Vega et Cieza de León, le décrivent comme un temple « couvert d’or »: de nombreux animaux exotiques et plantes parsemaient ses planchers et ses murs, y compris le jardin qui était en or pur massif.

Le temple, les matériaux et la technique sont très semblables à ceux du Sacsaywamán ou du Machu Picchu, si ce n’est que le style mégalithique y est peu représenté. Ici, nous voyons un style impérial avec un gréement régulier en parallélépipèdes; l’élément prédominant est la pierre andésite.

Les vestiges de Coricancha sont considérés comme une merveille de l’architecture inca.

En fait, les experts à ce jour ne savent pas comment les Incas antiques ont réussi à créer des murs aux formes si parfaites.

Les ingénieurs modernes disent que la précision de leur maçonnerie rivalisent avec celle de l’usinage de pointe moderne.

Cependant, les Incas n’étaient pas la seule civilisation ancienne à atteindre une telle compétence en matière de construction.

Si nous parcourons 10,000 kilomètres à l’autre bout du monde, à Gizeh, en Égypte, nous constatons les mêmes techniques et pratiques de construction, au temple de la Vallée des Rois, non loin du Sphinx.

Coïncidence? Je ne pense pas. On dirait que ce sont les mêmes architecte qui étaient à l’oeuvre.

Imaginez que vous vous tenez debout devant le temple du Sphinx en Egypte tout en observant les incroyables ruines de l’ancien temple. Imaginez alors que vous fermez les yeux et quand vous ouvrez alors, vous avez été téléporté(e) au temple de Coricancha à Cusco. Les styles sont tellement semblables que si vous ne saviez pas où vous vous trouviez à ce moment précis, vous ne pouviez pas faire la différence entre les deux, en raison du fait que les styles de construction de ces deux temples sont étrangement similaires.

Les similitudes entre les deux temples relatent une histoire que la plupart d’entre nous n’ont pas entendue.

Les deux temples sont dotée de blocs incroyables qui s’emboîtent si étroitement les uns dans les autres qu’il est impossible d’y glisser une seule feuille de papier entre elles. Cependant, comme l’ont noté de nombreux chercheurs et auteurs, ce qui rend ces temples encore plus fascinants, c’est la taille des pierres utilisées lors de leur construction.

En fait, certains de ces blocs sont tellement grands que même les ingénieurs d’aujourd’hui auraient du mal à les mettre en place.

On estime que les blocs de calcaire du temple de la Vallée des Rois pèsent environ 200 tonnes chacun.

D’une certaine manière, les anciens bâtisseurs ont réussi à soulever ces pierres massives et à les placer avec une précision inégalée jusqu’à des hauteurs d’environ 40 mètres au-dessus du sol, soit la hauteur d’un bâtiment de quatre étages.

Il est intéressant de noter que cela n’ a pas été accompli uniquement sur ces deux sites. Il existe de nombreux sites similaires dans le monde entier.

Partout dans le monde, les anciennes cultures ont choisi à maintes reprises de construire des blocs semblables inspirés par une forme d’admiration et dotés d’une telle précision que les ingénieurs d’aujourd’hui sont totalement stupéfaits, et tout cela en utilisant des pierres super-massives et, ce qui est le plus important, sans l’utilisation de mortier.

Source: Ancient Code, le 12 novembre 2017

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23 septembre 2017 6 23 /09 /septembre /2017 18:19

Des chercheurs océaniques découvrent une énorme structure en métal sous la mer Baltique, elle serait vieille de 140.000 ans !

 

Structure de 140.000 ans au fond de la Baltique

Aussi tentés que nous puissions l’être d’explorer d’autres planètes dans notre univers, il y a encore de nombreux mystères non résolus reposant sous nos océans, lacs et fleuves – 95 % restant inexplorés. 
Les scientifiques sont notamment perplexes devant un objet circulaire colossal, qui a été découvert à une profondeur de 90 mètres au fond de la mer Baltique en 2011. 
Il est maintenant connu comme "l’anomalie de la mer Baltique". 
"J’étais le plus grand sceptique, je m’attendais à trouver juste de la pierre. Pour moi cela a été une formidable expérience", indique Peter Lindberg, l’un des chercheurs ayant découvert l’objet. 




 
L’équipe suédoise Ocean X, conduite par Lindberg le co-chercheur Denis Asberg, a détecté l’objet avec un sonar en cherchant à explorer l’épave d’un navire. 
Il a été déterminé que l’objet faisait 60 mètres de large et 8 mètres de hauteur, avec des bords pointus, des lignes parfaitement droites et des angles droits parfaits prévalents à travers toute sa structure.
Les marques sur le plancher océanique ressemblent à des marques d’atterrissage, tandis que l’objet semble reposer sur un "large pilie".
De nombreuses théories ont été émises sur ce que pourrait être cette structure gigantesque, alors que l’on pense qu’elle aurait au moins 140.000 ans. 

Selon Volker Bruchert, professeur associé de géologie à l’université de Stockholm, l’objet est "vieux de plusieurs milliers d’années" et remonte à une période glaciaire. 
 


 

Denis Asberg se rappelle : "Nous avons été vraiment surpris et perplexes. Nous pensions à ce que nous avons trouvé ici. Ce n’est pas une épave. À ce moment nous étions certains qu’il y avait une explication naturelle."
"Nous voulions observer cela plus en profondeur et avons décidé de rester silencieux là-dessus. 

Nous avons contacté des géologues, des biologistes marins, et lorsqu’ils ont dit qu’ils n’avaient jamais rien vu comme ceci, bien sûr nous avons été intrigués."
"Il se pourrait qu’on ait trouvé quelque chose de vraiment formidable."
En s’attendant à trouver de la pierre, il a été déterminé que cet objet étrange était en réalité fait de métal. 

Lorsque des plongeurs en ont recueilli un échantillon, le géologue Steve Weiner a confirmé qu’il était fait de "métaux que la nature ne pouvait pas produire par elle-même". 



 


 
Étrangement, tous les appareils électroniques sur le bateau de l’équipe Ocean X ont cessé de fonctionner lorsqu’ils ont navigué directement au dessus de l’objet, et ont recommencé à fonctionner à nouveau après qu’ils se soient éloignés de là où se situait l’objet.
"Tout ce qui est électrique à bord, ainsi que le téléphone par satellite, a arrêté de fonctionner lorsque nous étions au dessus de l’objet", rapporte le plongeur professionnel Stefan Hogerborn.
"Ensuite lorsque nous nous sommes éloignés d’environ 200 mètres ça s’est de nouveau mis en marche, et lorsque nous sommes revenus au dessus de l’objet ça n’a plus marché."



 


 



Leur seconde visite de l’anomalie, Ocean X a découvert ce qui semblait être un escalier menant à l’intérieur de la structure à travers un trou sombre.
Bien que les chercheurs aient été hésitants à avancer jusque là des conclusions, nous pouvons nous demander : ce pourrait-il que cet escalier soit l’entrée d’une sorte d’ancien vaisseau spatial ?
Qu’est-ce qui a causé les marques d’atterrissage sur le plancher océanique derrière l’objet ? 

L’objet s’est-il écrasé à terre il y a des dizaines de milliers d’années ?
Les opinions sur ce phénomène sont divisées entre les experts, tandis que certains pensent que l’image capturée ne donne pas assez d’informations sur lesquelles baser des conclusions.
Jusqu’à présent personne n’est encore allé au fond pour faire une recherche complémentaire. 

Il semble donc que pour le moment l’anomalie de la mer Baltique reste un mystère, reposant au fond de l’océan. 


Source
Via : epochtimes
Par Alain Proviste -
http://www.onsaitcequonveutquonsache.com/chercheurs-oceaniques-decouvrent-enorme-structure-metal-mer-baltique-serait-vieille-de-140-000-ans/

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1 juin 2017 4 01 /06 /juin /2017 21:49
D’où viennent les Indiens que les Européens trouvèrent en Amérique? Étaient-ils autochtones, c’est-à-dire originaires de l’Amérique même, ou venaient-ils d’ailleurs?

 

Les traces hébraïques en Amérique remontent à l’origine du continent

Extrait de Le problème du peuplement initial de l’Amérique et de l’origine ethnique de la population indigène- Henry Vignaud

D’après ces diverses suppositions, l’Amérique aurait été peuplée par les fils de Jectan, arrière-petit-fils de Sem, fils de Noé.

Au lendemain de la découverte de l’Amérique, alors que la critique géographique était à peine sortie de ses langes et que les textes bibliques jouissaient d’une autorité que personne n’osait mettre en question, c’est dans l’Écriture qu’on devait chercher l’origine des Américains. Un savant espagnol qui savait une foule de langues, Arius Montanus, l’auteur célèbre de la fameuse Bible polyglotte commandée par Philippe II, (publiée à Anvers, de 1569 à 1573,’ en 8′ volumes in-folio), trouva parmi les descendants de Noé les progéniteurs de cette race..

C’étaient les fils de Jectan, arrière-petit-fils de Sem, dont l’un, Seba, colonisa la Chine, un autre, Ophis, s’en alla d’abord au N.-O. du Nouveau Monde, puis descendit jusqu’à la région péruvienne, alors qu’un troisième, Jobal, élisait domicile au Brésil.

Montanus figura cette conception géographique dans une mappemonde signée et datée de 1571, qui parut pour la première fois dans sa grande Bible et qui reparut dans ses Antiquitatum Judaicarum, publiés à Ley de en 1593, où elle est expliquée savamment? Elle eut un grand succès, tant à cause de la notoriété de son auteur, que parce que c’est la première carte, où la tradition biblique sur le peuplement du monde entier par la postérité de Noé est interprétée graphiquement par un orientaliste spécialement versé dans la langue des écrits qui nous l’ont transmise.

Les Hébreux et les Туriens des flottes de Salomon envoyées à Ophir

Au XVIe siècle, on était si persuadé que l’Amérique avait été peuplée -par des descendants de Nóé, qu’on chercha par quelle région ils l’avaient fait. Naturellement on la trouva.

C’était à Ophir et les Hébreux, nous assure-t-on, continuèrent à être en rapports avec ces premiers Américains qui étaient de leur race, car Salomon, d’accord avec les Tyriens, envoyait souvent à ce pays des navires qui en rapportaient de l’or, des bois choisis et autres précieuses matières.

Seulement, les auteurs ne sont pas d’accord sur la situation d’Ophir. Pour le plus grand nombre c’était au Pérou. Telle était l’opinion de Génébrard, célèbre professeur d’hébreu au Collège royal en 1563, de Guillaume Postel, savant cosmographe, qui mourut en 1581, d’Arius Montanus, mentionné plus haut, de Fernando Montesinos, qui consacra sa vie à l’étude des Indiens, et dont l’ouvrage, écrit vers 1530, est justement estimé, et de plusieurs autres. Mais celui qui s’est montré le plus affîrmatif sur ce point est le vovageur Onfroy de Thoron qui a vécu plusieurs années dans l’Amérique du Sud’ et qui a déployé une érudition extraordinaire pour démontrer qu’Ophir était dans la haute Amazonie, sur le rio.Japura, à l’extrémité- occidentale du Brésil.

Ils allèrent à Ophir, et ils y prirent de l’or, quatre cent vingt talents, qu’ils apportèrent au roi Salomon.1 Rois 9 : 28

Les navires de Hiram, qui apportèrent de l’or d’Ophir, amenèrent aussi d’Ophir une grande quantité de bois de santal et des pierres précieuses. 1 Rois 10 : 11

Josaphat construisit des navires de Tarsis pour aller à Ophir chercher de l’or; mais il n’y alla point, parce que les navires se brisèrent à Etsion-Guéver (Eilat). 1 Rois 22 : 48/49

Les dix tribus du Royaume d’Israël se réfugient aux Amériques

L’historique de cette singulière opinion est curieuse, elle prend sa source dans un fait mémorable : la conquête, par l’Assyrie, du royaume d’Israël, qui comprenait les dix tribus septentrionales de la Palestine, alors que les deux autres tribus, formant le royaume de Juda, restaient en paix avec les’ Assyriens. Cette conquête, commencée en 733 avant notre ère, se termina en 721 , par la prise de Samarie et la captivité d’une grande partie des Israélites, qui furent dispersés dans les états des vainqueurs. A partir de ce moment, ces tribus disparaissent de l’Histoire; on ne sait ce qu’elles sont devenues.

D’après un passage du IVe livre d’Esdras, ouvrage apocryphe, ou plutôt non canonique, désirant vivre en paix, elles auraient cherché un pays qui n’avait jamais été habité, où elles pourraient suivre librement leurs lois, et, après avoir erré un an, elles se seraient fixées à un lieu appelé Arsareth, où elles devaient habiter jusqu’à la fin des temps. Les textes ne disent pas où il se trouvait, mais des commentateurs ont jugé que c’était l’Amérique et leur manière de voir a prévalu auprès du plus grand nombre.

Le premier qui paraît avoir émis cette opinion, est le célèbre apôtre des Indiens, Las Casas, qui mourut en 1566. Le Père Duran, dont le livre fut terminé en 1581, la reprit et la développa, et, en 1607, date de la première édition de son livre sur l’origine des Indiens, lé Père Gregorio Garcia put citer et analyser les vues de plusieurs autres auteurs favorables à la thèse. Grotius, qui la connut, la combattit en 1642, mais sans succès.

En-1650, un rabbin portugais, Menasech ou Manassès Ben Israël, qui s’était laissé persuader qu’il existait en Amérique une tribu qui connaissait la Bible, chercha des textes pour expliquer ce fait et demeura convaincu qu’il s’agissait de descendants des dix tribus perdues. Il le démontra dans un livre qui attira une. grande attention et qui fut aussitôt traduit en plusieurs langues.

Au XIXe siècle, nombre d’auteurs anglais témoignent encore en faveur de l’origine Israélite des Indiens. Parmi les plus connus nommons Elias Boudinot, américain d’origine française, Jarvis, Ethan Smith, Israël Woreby et Barbara Simon, dont les écrits sur cette question sont aujourd’hui des raretés bibliographiques extrêmement recherchées.

Des tablettes retrouvées au Brésil

La tablette de Parahyba prouve que des marins originaires du pays de Canaan arrivèrent au Brésil en 600 avant notre ère. L’inscription, extrêmement longue, raconte qu’un galère phénicienne se perdit dans une tempête lors de la cirumnavigation de l’Afrique.

Cet événement peut être approximativement daté de 600 avant notre ère si l’on se réfère à la seule tentative de contourner l’Afrique par l’Ouest décrite par Hérodote. L’inscription brèsilienne dit que douze hommmes et trois femmes arrivèrent sur « un nouveau rivage » où ils sacrifièrent un enfant afin que cela leur porte chance.

 

 

Ce que nous savons c’est qu’un rapport a été déposé par des marins lors de leur retour  en Espagne, dans la seconde moitié du cinquième siècle avant JC… Que l’histoire soit vraie ou pas, nous est inconnu, mais il a été consciencieusement rapporté à l’époque dans certains ont écrit.

Plus tard, aux XVIIIe et XIXe siècles, Ezra Stiles, alors président du Collège Yale, a estimé que l’écriture était de l’hébreu.

Dans son livre de 1871, l’Amérique ancienne, John Denison Baldwin a déclaré que «l’entreprise connue de la race phénicienne, et cette connaissance ancienne de l’Amérique, si diversement exprimée, encouragent fortement l’hypothèse que les Phéniciens sont venus sur ce continent, et ont établi des colonies dans une région où se trouvaient des villes ruinées et la remplire d’une vie civilisée. On prétend qu’ils faisaient des voyages sur le «grand océan extérieur» et que de tels navigateurs avaient traversé l’Atlantique; Et il est ajouté que des dispositifs symboliques semblables à ceux des Phéniciens se trouvent dans les ruines américaines et qu’une ancienne tradition des Mexicains et des Amérindiens ont décrit les premiers civilisateurs comme des «hommes blancs barbus», qui «venait de l’Est en navires. »

Des inscriptions qui évoquent une guerre en Mésopotamie

Les inscriptions Inga Stone sur un mur d’environ 12 pieds de haut et 150 pieds de long à Paraiba, au Brésil.

La pierre Ingá (Pedra do Ingá en portugais) est située au milieu de la rivière Ingá près de la petite ville d’Ingá, à 96 km de João Pessoa, dans l’état de la Paraíba, au nord-est du Brésil. La pierre Ingá s’appelle également Itacoatiara do Ingá. Le mot Itacoatiara signifie pierre dans la langue tupi des indigènes qui vivaient dans cette région.

C’est une formation rocheuse au gneiss qui couvre une superficie d’environ 250 m². Au total, un mur vertical de 46 mètres de long par 3,8 mètres de haut et des zones adjacentes, il y a des entrées dont les significations sont inconnues. Dans cet ensemble sont sculptés en bas relief, plusieurs figures, suggérant la représentation des animaux, des fruits et des constellations comme Orion et la Voie lactée.

Personne ne sait comment, par qui ou pour quelles raisons les inscriptions sur le roc ont été faites. Diverses sources ont été identifiées, et il y en a beaucoup qui font valoir que la pierre d’Inga a une origine phénicienne. Le Père Ignatius Rolim, par exemple, professeur de théologie, grec et latin, qui a vécu au XIXe siècle, fut l’un des premiers défenseurs et promoteurs de cette idée.

De nombreux symboles du monolithe de l’Inga sont semblables à ceux trouvés en Turquie, dans l’ancienne Anatolie des Hittites.

Une série d’inscriptions parle d’une « guerre des frontières » entre deux souverains d’origine mésopotamienne.

Une autre histoire raconte une terrible éruption volcanique. Les cendres couvraient une ville de pierre sur la côte atlantique.

Diverses théories prétendent que les signes ont été sculptés par des cultures indiennes anciennes, tandis que d’autres ont suggéré qu’il était fait par une civilisation ancienne inconnue qui a visité cette région dans le passé. (source)

Des Cherokees d’origine hébraïque

 

 

Un jeune garçon et une jeune fille Cherokee en costume dans une réserve du nord du Canada, en 1939.

L’idée selon laquelle les amérindiens sont les descendants des anciens juifs a été controversée pendant des centaines d’années. James Adair est un colon du 18e siècle qui a commercé avec les amérindiens pendant 40 ans. Il a rapporté que leur langage, coutumes et structures sociales étaient similaires à ceux des israélites.

Dans son livre, L’histoire des amérindiens, il a écrit : « c’est très difficile de se libérer soi-même, pour ne pas dire les autres personnes, des préjugés et opinions qui ont la faveur de tout le monde, et je m’attends à être censuré par certains parce que je m’oppose à des sentiments communément admis, ou parce que je me mêle d’un différent qui agite les savants depuis la première découverte de l’Amérique. »

Plus récemment, des observations similaires tenues par le Dr. Donald Panther-Yates ont même attisé ce que Yates décrit comme des « courriers de haine » provenant de professeurs en sociologie des indigènes.

Il est communément admis que les amérindiens descendent des Mongols. En 2013, une étude publiée dans la revue Nature a cependant reconnu la possibilité d’ancêtres européens. L’ADN d’un squelette vieux de 24 000 ans en Sibérie a été analysé. Son génome montre des similitudes évidentes avec les amérindiens et également avec les européens mais aucune avec les populations asiatiques. Cependant, le courant dominant de la communauté scientifique est loin d’accréditer la théorie selon laquelle les populations autochtones d’Amériques descendent des populations antiques du Moyen-Orient ou de la Grèce comme l’ont proposé Yates et d’autres.

Yates est lui-même d’origine Cherokee. Il est aussi titulaire d’un doctorat en études classiques et il a fondé l’institut de recherche en génétique, DNA Consultants. Ces trois qualités réunies en une seule personne donnent à Yates une approche unique en son genre sur l’histoire des amérindiens, sur les liens avec les cultures anciennes et sur la façon dont les tests ADN peuvent soutenir le lien théorique.

Des similitudes génétiques

On considère généralement que les amérindiens se retrouvent dans cinq groupes génétiques, connus sous le nom de haplotypes, portant chacun une lettre de l’alphabet : A, B, C, D et X.

Dans un article intitulé Anomalies du lignage de l’ADN mitochondrial chez les Cherokee, Yates a démontré ce qu’il appelle une erreur derrière de nombreuses analyses génétiques : « [Les généticiens affirment que] « les lignages A, B, C, D et X sont amérindiens. Donc, tous les amérindiens sont de lignages A, B, C, D et X ». L’erreur dans un tel raisonnement est évidente. On pourrait le reformuler ainsi : « Tous les hommes sont des créatures à deux jambes, donc, puisque le squelette que nous avons déterré a deux jambes, c’est un humain. » Il pourrait pourtant s’agir d’un kangourou. »

Toute divergence à partir des haplotypes est habituellement attribuée à un mélange des populations après la colonisation européenne, non aux gènes que possédaient les amérindiens à l’origine.

Après avoir analysé l’ADN Cherokee, Yates a conclu : « Dans le peuple Cherokee, un tel mélange ne peut pas résulter d’un flux de gènes européens postérieur à 1492. »

« Mais alors, d’où proviennent les éléments génétiques qui apparaissent et qui ne sont ni européens, ni indiens ? » a-t-il demandé. « La part de l’haplogroupe T (grand groupe d’haplotype) chez les Cherokee (26,9 %) est approximativement le même que pour les anciens égyptiens (25 %), une des seules populations où les halogroupes T atteignent une position majeure parmi les divers lignages mitochondriaux. »

Yates s’est concentré sur le haplotype X pour son « absence relative en Mongolie et en Sibérie et sa forte présence récemment prouvée au Liban et en Israël. »

En 2009, Liran I. Shlush, de l’Institut israélien de technologie a publié un article dans la revue PLOS ONE, déclarant que le haplotype X s’est diffusé dans le monde à partir des Collines de Galilée dans le nord d’Israël et du Liban. Yates a écrit : « Le seul autre endroit dans le monde où X est trouvé à un niveau élevé, à part chez des groupes amérindiens comme les Ojibwe, se trouve parmi les Druzes des Collines de Galilée au nord d’Israël et au Liban. »

Des similitudes culturelles et linguistiques

Bien qu’une grande partie de la culture Cherokee ait été perdue, fait remarquer Yates dans son livre Clans Cherokee, ce que nous pouvons encore découvrir dans les légendes fournit des indices sur les ancêtres ayant traversé la mer et dont la langue était similaire à celle des anciens Grecs. Certaines similitudes ont aussi été retrouvées entre les langues amérindienne, égyptienne et l’hébreu.

Maui, le demi-dieu blanc des Cherokee pourrait avoir ses racines chez une figure libyenne, commandant d’une flotte détruite par le pharaon Ptolémée III avant 230 av J.C, a expliqué Yates. « Maui » est similaire aux mots égyptiens pour « guide » ou « navigateur ». Maui aurait amené à la civilisation les arts et l’artisanat. Selon Yates, Maui a attribué aux principaux chefs Cherokee des titres comme Amatoyhi ou Moytoy, qu’on peut traduire par « marin » et « amiral ».

Yates a raconté une légende du Clan Cherokee Twister qui nommait le père de Maui, Tanoa. Il a affirmé que Tanoa pourrait se référer à un grec. « Tanoa était le père de tous les enfants blonds et venait d’une terre appelée Atia » a-t-il écrit.

Atia pourrait se référer à l’Attique, une région historique comprenant la capitale grecque, Athènes. Dans la dite légende, Atia était présentée comme un endroit « plein de hauts temples d’albâtre », dont l’un « était très spacieux et construit comme un endroit de rassemblements entre les dieux et les hommes ». À cet endroit, se déroulaient des compétitions sportives, des jeux, des fêtes pour les divinités, des réunions de grands chefs. C’était aussi le lieu où naissaient les guerres qui ont poussé les gens à se disperser dans tout le Pacifique.

« On pouvait difficilement inventer une mémoire folklorique plus appropriée de la culture grecque » écrit Yates. « Le mot Hawaïen qui incarnait ce monde égaré est karioi- « loisir, facilité », c’est littéralement le même mot en grec pour « amusements » ». Yates a remarqué d’autres similitudes linguistiques.

« Selon les anciens de la Société de Keetoowah, autrefois, les Cherokee parlaient une langue non indienne, proche du Hopi (langue amérindienne), mais l’ont abandonnée et adopté le Mohawk pour continuer à vivre avec les Iroquois. La « vieille langue » semble avoir beaucoup d’éléments du grec, ainsi que de la langue de l’Egypte Ptolémaïque et celle des anciens judéens » a-t-il déclaré.

James Adair avait, de son côté, noté des similitudes linguistiques entre les langues amérindienne et l’hébreu.

Comme pour les noms en hébreu, les noms amérindiens n’ont ni cas ni déclinaisons, a écrit Adair. Une autre similitude est le manque de degrés comparatifs ou superlatifs.

« Il n’y a peut-être pas une autre langue ou langage, excepté l’hébreu et l’amérindien, qui n’ait pas beaucoup de prépositions. Les indiens, comme les hébreux, n’utilisent pas pour cela de termes séparés et spécifiques. Ils sont obligés de joindre certains caractères aux mots, dans le but de combler ce grand déficit » a-t-il décrit.

Une perspective du passé

Adair offre une perspective sur la culture que ne propose pas Yates. Adair a beaucoup interagi avec les amérindiens des centaines d’années plus tôt, alors que leurs traditions étaient en plein essor. Bien entendu, en tant qu’étranger, l’étendue de son incompréhension de cette culture doit aussi être prise en compte.

Adair a écrit :

« A partir des observations les plus exactes que j’ai pu faire au cours de la longue période durant laquelle j’ai commercé avec les amérindiens, je ne pouvais pas ne pas croire qu’ils descendaient directement des israélites, soit au moment où ils constituaient une puissance maritime, soit peu après leur mise en captivité, cette dernière hypothèse est cependant la plus probable ».

Ils avaient une organisation tribale similaire, a t-il déclaré. Leur manière de segmenter le temps était similaire, ainsi que leur habitude de disposer d’un endroit très sacré, et leur désignation des prophètes et des grands prêtres.

Il a donné un exemple de coutume similaire : « comme pour la Loi mosaïque concernant la purification des femmes après un voyage, les femmes indiennes se tiennent éloignées de leurs époux et de toute compagnie publique pendant une période considérable. »

Il explique ainsi l’absence de circoncision parmi les amérindiens : « quand les israélites se trouvaient dans le désert, ils n’ont pas renouvelé l’acte douloureux de la circoncision à cause des fatigues et des difficultés engendrées, seul Joshua se l’est imposé. Et comme cela a déjà été indiqué, les amérindiens devaient être exposés aux mêmes conditions lors de leur première arrivée dans ce désert vaste et étendu, il est probable qu’ils se soient abstenus de la circoncision, selon le principe divin de leurs supposés prédécesseurs dans le désert de ne pas accepter de sacrifice au détriment de la miséricorde. Ceci pourrait les avoir incité, après cela, à le rejeter comme une tâche inutile, en particulier si un des païens orientaux les accompagnait dans leurs voyages en quête de liberté. »

Il semble que le peuple Cherokee ait éprouvé des sentiments mitigés sur les travaux de Yates. Alors que le site Internet du groupe central Cherokee ( Central Band of Cherokee website ) a posté un résumé des recherches de Yates, certains commentaires en ligne indiquent que certains Cherokee sont réticents à l’idée d’accepter de telles déclarations ou à s’impliquer dans la controverse.

En écrivant au sujet du clan Cherokee Paint, Yates a déclaré : « Certains d’entre eux pratiquaient le judaïsme, bien que les anciens du Keetoowah Uni [une organisation cherokee] le nient vigoureusement. » (source)

Les Tablettes brésiliennes gravées en hébreu ancien

DES PHÉNICIENS AU NOUVEAU MONDE ? – Par Ronald J. Willis – extrait de : Le livre de l’Inexplicable de Jacques Bergier

L’existence de l’inscription de Parahyba et son sens ne font plus de doute. Même les archéologues les plus réactionnaires les admettent. Il semble que les Anciens se déplaçaient beaucoup plus qu’on ne le croit et qu’ils exploraient davantage qu’on ne le pense.

Tout récemment, on a prouvé qu’au XIVe siècle de l’ère chrétienne une immense flotte chinoise a atteint l’Afrique. La conception d’une Histoire fragmentée, avec des civilisations bien séparées, est amenée à disparaître.

En 1872, à Parahyba, au Brésil, fut découverte une pierre qui portait une inscription en huit lignes dont les caractères n’appartenaient très évidemment pas aux cultures connues de l’Amérique du Sud.

En 1874, l’inscription vint à l’attention du Pr Ladislas Netto du Musée national brésilien de Rio de Janeiro. Ni le professeur Netto ni aucun autre savant brésilien ne semblent lui avoir jamais accordé une très grande attention sérieuse.

Elle en vint cependant à être connue en Europe où les infatigables érudits allemands la remarquèrent. Elle fut d’abord jugée d’origine phénicienne. Plus tard, la philosophie allemande l’écarta comme non phénicienne.

Apparemment la pierre elle-même se trouva perdue. Mais l’inscription demeura en copie. Maintenant, la controverse s’est rallumée. Un nouveau protagoniste soutenant l’origine phénicienne de l’inscription est apparu. C’est le Dr Cyrus H. Gordon de l’Université Brandeis.

Deux facteurs sont survenus pour ranimer la controverse.

L’un vient de ce que de nouvelles découvertes dans les écrits phéniciens démontrent, selon le Dr Gordon, que l’usage des mots dans l’inscription de la pierre de Parahyba est correct, contrairement à des jugements antérieurs moins bien informés.

L’autre facteur provient de la découverte par le Dr Jules Piccus, de l’Université du Massachusetts à Amherst, d’un carnet de notes ayant appartenu à Wilbeforce Eames, l’un des conservateurs en chef de la New York Public Library au XIXe siècle. Dans ce carnet, se trouvait une lettre du 31 janvier 1874 adressée à Mr Eames par le Pr Netto. Le Dr Piccus montra cette lettre au Dr Gordon. Celui-ci en conclut que la transcription des caractères dans la lettre était plus plausible que la version « définitive » précédente, publiée en 1899.

Tandis que le Pr Frank M. Cross de Harvard continue de stigmatiser l’inscription comme un « faux du XIXe siècle », le Dr Gordon soutient que l’usage d’une terminologie inconnue des archéologues au moment de sa découverte prouve que ce n’est pas une fabrication frauduleuse.

La controverse se poursuit donc. Mais jusqu’à présent sans prêter d’attention visible à d’autres inscriptions tenues pour phéniciennes trouvées au Brésil. En gros, celles-ci comprennent :

Egalement en 1872, un ingénieur du nom de Francisco Pinto prétendit avoir découvert, des inscriptions dans plus de vingt cavernes dans la jungle brésilienne ; en tout, environ 250 inscriptions. Sur l’invitation du gouvernement brésilien, le philosophe allemand, Ludwig Shoenhagen, vint au Brésil, étudia les inscriptions pendant quinze ans et les
déclara phéniciennes.

Dans les années 1880, le Français Ernest Renan affirma avoir trouvé d’autres inscriptions phéniciennes.

Au début de ce siècle, un industriel retiré des affaires, Bernardo da Silva Ramos, prétendit avoir découvert plus de 2800 inscriptions sur des pierres, le long du cours de l’Amazone. Un rabbin de Manáos déclara qu’à son avis ces inscriptions étaient phéniciennes. Les ouvrages ou articles de Ramos sur ce sujet semblent avoir été vraiment bien ignorés.

On considère généralement que les Phéniciens atteignirent les Açores. Sur la plus occidentale de ces îles, Corvo, on dit qu’il y aurait eu des découvertes de monnaies carthaginoises (en 1749), des rumeurs persistantes (quoique obscures) de l’existence de ruines phéniciennes, y compris la découverte, lorsque les Portugais y arrivèrent, d’ « une statue équestre désignant l’ouest », qui, si cela est vrai, aurait été détruite depuis très longtemps.

Nous estimons qu’il conviendrait de prêter attention à ces corroborations possibles d’une présence phénicienne dans le Nouveau Monde.

Quelques remarques sur le texte de Parahyba

Extraits de « L’authenticité du texte phénicien de Parahyba », par le Dr Cyrus H. Gordon de l’université Brandeis, dans Orientalia de Rome, vol, 37 (1968), p. 75.

Les singularités linguistiques qui ont jeté la suspicion sur le texte viennent au contraire à l’appui de son authenticité.

« R (Rab, le capitaine) et un nombre de dix hommes périrent.

Des pertes pour moi et (mais) pourquoi pour (mon) camarade Hnna (Hanno). »

Note : le mot Rab traduit par capitaine, peut tout aussi bien signifier un chef religieux : Rabbi ou Rav

Si l’on ajoute que dans son numéro d’avril 1971, New World Antiquity a déjà publié trois autres traductions différentes de l’inscription de Parahyba, on voit les nombreux pièges qui guettent même les traducteurs les plus expérimentés et pourquoi il est si difficile d’avoir une complète certitude (N.D.T.)

Des monnaies romaines au Venezuela…!

A la fin du XIXe siècle, un trésor en pièces de monnaie romaines fut découvert sur la côte du Venezuela. Les pièces, sans leur contenant original, arrivèrent entre les mains de l’attaché militaire américain à Caracas. Elles sont maintenant à la Smithsonian Institution de Washington, D. C.

A propos de ces pièces, Frederik J. Pohl indique dans une note de son ouvrage sur les Traversées de l’Atlantique avant Colomb (déjà cité, p. 34):

« Etant donné que le trésor comporte de nombreuses pièces en double, on présume que ces pièces ne furent pas réunies par un collectionneur, mais constituaient l’encaisse en espèces d’un négociant pour ses achats de marchandises. Comme ces pièces ont été trouvées entassées dans une jarre et non pas éparpillées sur la plage, il semble raisonnable de présumer également qu’elles n’ont pas été perdues accidentellement par quelqu’un ni égarées dans le sable mais qu’elles ont été rejetées sur la côte à la suite d’un naufrage ou délibérément enfouies par leur possesseur. Du fait qu’il y a des monnaies de tous les empereurs romains jusqu’au milieu du IVe siècle, on connaît la date approximative à laquelle le bateau les a apportées. »

La lettre ci-dessous datée du 7 mai 1968, que Paul J. Willis, secrétaire général d’I.N.F.O. (The International Fortean Organisation, PO Box 367, à Arlington, Virginie 22 210), a reçue de M. L. Peterson, président du département d’Histoire des Forces armées, à la Smithsonian Institution (musée national des Etats-Unis, Washington D.C. 20 560), donne les dernières précisions à ce sujet:

« Je travaille toujours sur le trésor de monnaies romaines mentionné dans votre lettre et j’ai l’intention de publier un rapport lorsque ce sera terminé. Beaucoup de ces pièces sont terriblement rongées par la corrosion et il est difficile de les identifier avec précision. Je peux cependant vous dire que la majeure partie des pièces consiste en monnaies romaines avec quelques monnaies romaines préhispaniques. On a trouvé deux pièces maures dans le lot — dont une hispano-mauresque datant du VIIIe siècle.

« Au moment où j’ai donné des informations sur ce trésor à plusieurs personnes qui l’ont mentionné dans leurs écrits, je ne l’avais pas complètement étudié et les pièces maures n’étaient pas identifiées. En conséquence, ces personnes peuvent être parvenues à une conclusion légèrement erronée sur la chronologie de cette découverte, mais à l’époque, je leur ai donné les informations que j’avais. Je leur avais également expliqué que l’étude n’était pas complète.

Malheureusement, le vase dans lequel le trésor fut trouvé était déjà détruit au moment où l’attaché (militaire) américain de notre ambassade à Caracas (propriétaire des pièces) est arrivé sur les lieux. Considérant l’extrême intérêt de cette découverte, je projette de publier un rapport préliminaire sur elle, même si quelques-unes des pièces pouvaient ne pas être exactement identifiées. »

La présence de pièces maures semble compliquer davantage les choses, et certainement modifier « la date approximative du voyage », si vraiment elles faisaient partie du chargement d’un bateau.

Les Amérindiens connaissaient le Nom de YHWH
Pierre découverte dans l’état de l’Ohio

Le devant de la pierre

Le dos de la pierre

Côté droit de la pierre

Le sommet de la pierre

Le côté gauche de la pierre

En Novembre 1860, David Wyrick de Newark, en Ohio trouva une pierre gravée à environ 10 miles au sud de Newark. La pierre est gravée sur tous les côtés avec une version condensée des Dix Commandements ou Décalogue, dans une forme particulière avec des lettres hébraiques. Le personnage en robe et barbu mis en avant est identifié comme Moïse. Son nom est écrit au dessus de sa tête en hébreu.

Ils conclue que la pierre Décalogue est un phylactère Juif ou tefilla (également écrit t’filla) de la période du Second Temple. Bien que le tefilla juif commun ne contient pas les paroles du Décalogue.

Autre découverte

Il est écrit en hébreu Qedosh Qedoshim « Saint des saints »

Il est écrit en hébreu Melek Eretz « Roi de la terre »

Il est écrit en hébreu Torah YHWH « La Loi de Dieu »

(source)

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Lazare : Moi ce qui m'a toujours frappé, c'est que l'on ne trouve aucune trace de polythéïsme dans les religions amérindiennes alors que toutes les anciennes religions sont polythéïstes à l'exception de celle des hébreux.

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27 avril 2017 4 27 /04 /avril /2017 18:01

Ces rares photos révèlent ce que le présent nous cache: des entrées mystérieuses dans la plus grande et la plus ancienne statue du monde, le Grand Sphinx de Gizeh.

L’entrée aux chambres secrètes au-dessous du SPHINX

Probablement le monument monolithique le plus célèbre sur cette planète, le Grand Sphinx de Gizeh a été une source constante de fascination pour ceux qui s’intéressent au passé de notre monde. Il déclenche l’imagination et pour cela seul, l’héritage de ses constructeurs mystérieux est poursuivi.

L’archéologie traditionnelle affirme que le Sphinx a été construit au 26e siècle avant J.C. Pendant le règne de Pharaon Khafre mais beaucoup d’auteurs sont en désaccord avec cette théorie. Ils sont convaincus que le Sphinx est beaucoup plus ancien que les anciens Égyptiens et, par conséquent, l’aura de mystère autour du monument grandit.

Si tel est le cas, qui l’a construit et dans quel but ? Pouvons-nous trouver des preuves à l’appui de ces affirmations ? Cela nous permettrait-il d’en savoir plus sur les anciens bâtisseurs du Grand Sphinx ?

L’énigme du Sphinx a dérouté les égyptologues et amateurs depuis que les Européens ont (re) découvert le Sphinx enterré dans le sable. Mais il pourrait vous surprendre d’apprendre que même si elle était couverte jusqu’à sa poitrine, l’ancienne statue était beaucoup plus encline à renoncer à ses secrets qu’elle ne l’est aujourd’hui.

La photo ci-dessus a été prise d’un ballon à air chaud quelque part au 18ème siècle. Remarquez l’ouverture au sommet de sa tête ? Cette ouverture n’est plus visible aujourd’hui, c’est donc un cas où le masquage est à la fois littéral et figuratif.

Les premières photos montrent également une grande fissure accompagnant une entrée située au sommet des hanches du Sphinx et beaucoup ont supposé que l’ouverture a conduit à une chambre funéraire secrète. Ce que vous pouvez ou ne pas savoir, c’est que la chambre funéraire a été ajouté au Sphinx beaucoup plus tard et pourrait ne pas avoir de valeur réelle dans l’effort de découvrir la véritable histoire du monument.

Les sceptiques pourraient dire que les chambres secrètes du Sphinx sont en fait un secret ouvert et elles sont partiellement correctes.

Au début des années 1800, l’égyptologue anglais Henry Salt aurait pénétré dans la cavité sous l’autel du Sphinx. Ce qu’il a trouvé là reste un mystère, mais ce que nous savons, c’est qu’il a hermétiquement fermé le tunnel après une discussion animée avec son collègue explorateur, l’antiquaire français LNP Auguste de Forbin.

Une autre «restauration» qui a eu lieu en 1926 a impliquer plusieurs autres entrées secrètes. La décision de l’égyptologue français Émile Baraize de remplir ces entrées et les tunnels reliés de ciment a dépouillé les futurs explorateurs de la chance de jeter un coup d’oeil sur ce chef-d’œuvre énigmatique.

Et pourquoi cela ? Parce que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec l’humanité dans son ensemble et si nous devons croire mystiques et psychiques, le plateau de Gizeh pourrait être à la maison à la fable Hall of Records.

Le mystère de cette salle contenant la connaissance remonte à Pline l’Ancien, mais selon certains auteurs, il pourrait être beaucoup plus ancien.

On a prétendu que les constructeurs originaux du Sphinx appartenaient à une race supérieure d’êtres hautement intelligents et que la chambre secrète contenait leurs connaissances accumulées vers 10.500 av J.C. Il n’est pas clair si cette course pourrait être liée aux survivants du cataclysme d’Atlantis ou était extraterrestre.

D’autres proposent de ne jamais trouver le Hall of Records, simplement parce que ce n’est pas un lieu physique mais plutôt une collection de pensées et d’événements encodés dans le royaume non-physique

Quoi qu’il en soit, le mystère des chambres secrètes sous le Sphinx maintiendra son allure sur l’intellect humain. C’est parce que notre quête de connaissances sur nos origines, du créateurs est Codé en dur dans le voyage collectif de l’humanité.

Des objets énigmatiques et inexplicables comme le Saint Graal, l’Arche de l’Alliance, l’Atlantide, le Shambhala et les archives akashiques sont des points de contrôle dans notre recherche du savoir sacrer et en même temps des clés qui pourraient déverrouiller la vérité sur la réalité.

http://complotiste.net/

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1 mars 2017 3 01 /03 /mars /2017 15:02
Découverte en Israël d’une grotte ayant abrité « les plus anciens manuscrits connus » de l’Ancien Testament

L’Université Hébraïque de Jérusalem a annoncé jeudi la découverte d’une nouvelle grotte ayant abrité des manuscrits de la mer Morte, l’une des « plus importantes trouvailles » concernant ces célèbres écrits depuis leur découverte il y une soixantaine d’années.

Ces textes, datant du 3e siècle avant JC au 1er siècle après JC, sont un ensemble de près d’un millier de parchemins principalement en hébreu, mais aussi en araméen et en grec parmi lesquels figurent de nombreux livres de l’Ancien Testament (ou « bible hébraïque« ). Ils constituent les plus anciens manuscrits connus de la Bible hébraïque.

Jusqu’à présent, les archéologues avaient établi que les manuscrits, retrouvés par un berger bédouin au nord ouest de la mer Morte entre 1947 et 1956, à proximité du site archéologique de Qumran, avaient été entreposés dans 11 grottes.

« Cette découverte d’une 12eme grotte pourrait révolutionner les informations dont nous disposons sur les manuscrits de la mer Morte », a déclaré à l’AFP Oren Gutfeld, archéologue à l’Institut d’archéologie de l’Université hébraïque de Jérusalem, responsable des fouilles.

Quelques précisions :

Plus de soixante ans après les premières fouilles à Qumrân, des chercheurs ont trouvé une douzième caverne dans l’une des falaises du désert de Judée. À l’intérieur, ils ont déterré un parchemin vierge ainsi que des restes de pots, de tissu et un bracelet en cuir.

«C’est extraordinaire, il s’agit de la plus importante découverte sur le site archéologique de Qumrân depuis des années», a estimé Oren Gutfeld, directeur des fouilles. Pus de soixante ans après les premières fouilles, des chercheurs de l’université hébraïque ont déclaré mercredi 8 février qu’ils avaient identifié une douzième grotte dans l’une des falaises du désert de Judée. Selon eux, la caverne aurait pu contenir des manuscrits de la mer Morte jusqu’à ce que celle-ci ne soit pillée par les Bédouins au milieu du XXe siècle.

«Jusqu’à présent, il était estimé que les manuscrits de la mer Morte ne se trouvaient que dans onze grottes à Qûmran, mais avec cette découverte, il est certain qu’il s’agit ici d’une douzième caverne», a déclaré l’archéologue américain Randall Price.

Des morceaux de poterie, une cordelette en cuir et des tissus, qui auraient servi à envelopper des manuscrits, ont été déterrés dans des niches situées le long des murs de la grotte, ainsi que dans un tunnel de quatre à six mètres de long. L’équipe de recherche a aussi mis la main sur un sceau fabriqué en cornaline, une pierre semi-précieuse. Au fond de la grotte, les archéologues ont retrouvé une pioche de fer datant des années 1950 laissée à l’abandon.

Mais ce n’est pas tout. Si l’Université hébraïque d’Israël regrette de n’avoir trouvé aucun des manuscrits dans la grotte, elle a tout de même déterré un bout de parchemin vierge attestant leur hypothèse. Pour les chercheurs, cela ne fait aucun doute que l’endroit contenait des manuscrits de la mer Morte qui ont été par la suite dérobés.

Un parchemin vierge retrouvé

Une découverte qui enthousiasme particulièrement le directeur général de l’Autorité des antiquités d’Israël. «La mise au jour de cette nouvelle grotte atteste du fait qu’il reste beaucoup de travail à effectuer dans le désert de Judée. Des découvertes d’une importance considérable peuvent encore avoir lieu», a déclaré Israël Hasson.

Avant d’ajouter: «Nous sommes dans une course contre le temps. Des voleurs saisissent des biens patrimoniaux à l’échelle mondiale pour un gain financier. L’État d’Israël doit mobiliser et allouer les ressources nécessaires pour lancer une opération historique avec le public afin d’effectuer une étude systématique de toutes les grottes du désert de Judée».

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