Pour tenter de comprendre ce qui est en train de se passer et d’entrevoir ce que sera le futur, remettons les choses dans une perspective longue.
Finalité du projet mondialiste. Les marchés ont besoin de croissance. Les populations riches et vieillissantes des pays d’Occident, saturées de biens de consommation, ne sont plus porteuses de croissance. Les mondialistes ont donc dévitalisé ces pays pour transférer leurs industries vers les pays pauvres d’Asie afin d’y faire émerger une nouvelle classe de consommateurs de plus d’un milliard d’individus.
Mise en état de sidération chronique des peuples. Le processus de mondialisation risquait de provoquer la rébellion des peuples majeurs et politiquement éduqués d’Occident. On les a donc placés en état de sidération chronique par la déculturation, par l’hébétude, par la submersion migratoire et par la peur de la sanction immanente. Précarité généralisée. Peur du chômage. Peur de se retrouver à découvert le 15 du mois. Peur de l’échec scolaire des enfants. Peur de voir son couple éclater. Peur de perdre son emploi. Peur de perdre son logement. Peur du déclassement social. Insécurité. Peur de la violence. Difficultés de vivre en société. Voisinages insupportables. Perte de son identité culturelle. Submersion migratoire imposée.
Cette mise en état de sidération chronique avait pour objectif de réduire toue velléité de rébellion. Toute l’énergie des gens se trouvant occupée à lutter contre les difficultés de l’existence, il ne leur en resterait plus assez pour contester le nouvel ordre social et la marche forcée vers la globalisation.
Les gagnants de la mondialisation. Bien entendu, le monde de la finance et les entreprises transnationales qui en ont été les initiateurs ; mais aussi les pays émergeants au premier rang desquels, la Chine.
La Chine grande gagnante de la mondialisation. Elle est le modèle idéal du nouvel ordre mondial. Elle a réussi la synthèse parfaite des deux versants du matérialisme : matérialisme capitaliste et matérialisme dialectique. Enrichissement sans limite pour une minorité, dictature communiste pour les masses. Enfin, grâce aux nouvelles technologies et à l’intelligence artificielle, la Chine a finalisé la mise en place d’un contrôle social totalitaire de type orwellien. En Chine, le projet est définitivement abouti et il est le modèle du contrôle social voulu par les mondialistes.
Fin des années 2010, contestation mondiale du NOM. À la fin des années 2010, le point d’avancement du processus laissait entrevoir le triomphe des mondialistes. Toutefois, sous le poids de ses excès et de ses contradiction, le modèle s’est retrouvé extrêmement fragilisé par la convergence des crises qu’il avait lui-même suscitées. À la fin de la décennie, on vu apparaître partout dans le monde les prémices d’un rejet final de la mondialisation. Délitement de la construction européenne, élection de Trump aux USA, de Bolsonaro au brésil, Brexit, Gilets jaunes en France, émergence de mouvements populistes partout en Europe : Hongrie, Pologne, Italie, Grande-Bretagne, Autriche, poussée de ces mêmes mouvements en France, en Allemagne et dans le Nord de l’Europe ; tandis que la Chine se trouvait sous la menace directe des révoltes à Hong-Kong qui risquaient de s’étendre au reste du pays.
Échec de la mise en état de sidération chronique. La levée de ces contestations transversales révélait l’échec des mesures ordinaires de mise en état de sidération. Il fallait donc augmenter les doses et créer les conditions de la mise en place d’un contrôle social encore plus drastique au plan mondial.
Apparition de la pandémie Covid-19. C’est donc au premier trimestre 2020 qu’on a vu apparaître, précisément en Chine, dans un laboratoire de la mondialisation, un virus dont on a appris depuis qu’il ne pouvait être que le produit d’une manipulation génétique.
Effets immédiats de la pandémie. Mise en place de mesures de confinement touchant tout l’hémisphère Nord. Finalisation du contrôle orwellien en Chine et préfiguration de la mise sous contrôle totalitaire du reste du monde. Dans le reste du monde : crise sanitaire, confinement, crise économique ravageuse porteuse de crises sociale et sécuritaire majeures.
Le peuple de France, danger pour les mondialistes. La France est un pays majeur dans l’histoire du monde qui, à ce titre, porte un magistère particulier. Malgré sa faiblesse numérique, le peuple de France a été de ceux qui ont dominé le monde, il a été de ceux dont le rayonnement a éclairé le reste du monde. À ce titre, il est particulièrement dangereux pour le projet globaliste car il porte le germe de la rébellion et de la contagion. La crise des Gilets jaunes en a été l’illustration et on a bien vu que les autres peuples étaient en attente du soulèvement français. Cela n’a pas échappé aux stratèges de la mondialisation. Le peuple de France est dangereux. c’est la raison pour laquelle les mondialistes lui ont appliqué des mesures de dévitalisation particulièrement sévères par l’hébétude, la mise en sidération chronique, la submersion migratoire.
Situation actuelle de la France. Dès lors, on comprend parfaitement pourquoi la France a fait l’objet d’une gestion de la pandémie qui en a aggravé tous les effets. Rien n’est dû au hasard ni à la maladresse. Ainsi, on a vu au cours des développement précédents que tout avait été systématiquement fait à l’envers pour augmenter les effets de la pandémie et que, pour faire durer, la technostructure sanitaire en France avait pris le parti des vaccins à perte de vue contre le traitement immédiat à la chloroquine. Bref, tout a été fait pour justifier le confinement à perte de vue en attente de la promesse de vaccins, un jour peut-être. Dans le même temps, le slogan « Sauvez des vies, restez chez vous » inversait la charge de la culpabilité en déchargeant les autorités et en plaçant le citoyen en position de seul responsable. Nouvelle mise en état de sidération par la peur de la maladie et par la culpabilisation.
Pourquoi le confinement va durer. On l’a vu, à la crise sanitaire va succéder une crise économique sans précédent avec des millions d’entreprises et d’emplois perdus, un endettement colossal, une paupérisation généralisée et une casse sociale jamais vues. Bref, toutes les conditions d’une crise sociale et sécuritaire majeure. Or, tout a été fait dans la gestion de la pandémie Covid-19 pour en arriver là. Tout a été fait pour interdire tout retour en arrière : aggravation volontaire de la crise et de fait, aggravation du besoin de révolte du peuple de France et à la fin, intensification des moyens de mises sous tutelle et de répression.Tous les cliquets sont bloqués il n’y aura pas de retour en arrière. D’ailleurs ils nous le disent : « le monde d’après ne sera plus comme le monde d’avant. »
Surinfection liée à la présence des masses islamisées. Dans le même temps, la crise va se trouver surinfectée par la présence de masses musulmanes déjà pour partie engagées dans le djhad et qui vont aussi avoir à souffrir de la crise économique. Soit elles vont voir leurs conditions économiques se dégrader, soit on sacrifiera les autres catégories sociales pour continuer à les sustenter. Dans tous les cas elles y verront soit un signe de faiblesse, soit une raison supplémentaire de se retourner encore plus contre la Nation. D’ailleurs, en accompagnement et dans l’espoir de surseoir encore, le pouvoir a déjà affiché des mesures de laxisme à l’endroit de ces populations. Alors que la population de souche est placée sous contrôle répressif strict, les populations musulmanes bénéficient d’un laxisme affiché. Nul doute qu’elles y verront un nouvel aveu de faiblesse et un nouvel encouragement.
Révolte sous-jacente de la population de souche et poussée belliqueuse des masses musulmanes, en France les mondialiste ne peuvent plus revenir en arrière. Ils sont allés trop loin dans le processus de destruction de la Nation, trop loin dans le contrôle totalitaire de la population de souche par la sidération, trop loin dans la latitude donnée aux islamistes d’instrumentaliser les populations musulmanes dans le djihad. Avec la crise économique majeure qui se présente, surinfectée par la présence d’une cinquième colonne musulmane, toute détente risquerait de libérer des événements qu’ils ne pourraient plus contrôler.
C’est la raison pour laquelle on ne sortira plus du confinement et que des mesures permanentes de contrôle social strict vont perdurer. Le confinement mutera, ils en adapteront les contours, mais la perte de libertés restera. Le peuple de souche restera durablement privé de ses libertés fondamentales ; notamment celle de circuler à sa guise. Désarmé, placé en état de sidération, il s’en trouvera encore plus livré à la merci de djihadistes.
Ils ne nous laissent plus le choix, il n’y aura plus désormais d’autre sortie que par la soumission ou par la violence libératrice.
Martin Moisan
Pourquoi les mondialistes français ont imposé un confinement si brutal - Riposte Laïque
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